Depuis le mois d’avril, le célèbre réseau social contribue à l’effort de recherche sur le Covid-19, en facilitant par exemple l’accès à ses algorithmes maison ou à des données agrégées et anonymisées provenant de sa base d’utilisateurs. Le but : permettre aux chercheurs d’analyser la propagation du coronavirus en mesurant l’efficacité du confinement par exemple. Quel bilan peut-on tirer aujourd’hui de ces initiatives ?
Le réseau social a-t-il amélioré les modèles épidémiologiques, et surtout, les données personnelles sont-elles suffisamment protégées ?
Réponses avec Antoine Bordes, directeur du Centre de Recherche de Facebook AI Research (FAIR).
La Cité des sciences et de l’industrie
et le Palais de la découverte lancent :
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